AISNE - St Quentin

St Quentin, la plus grande ville de l'Aisne fut très éprouvée en 1917 et 1918. La ville qui a le label "ville d'art et d'histoire" porte un grand intérêt à son patrimoine et en propose d'intéressantes visites. 

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La basilique au 18e siècle

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dessin allemand

une belle page sur la basilique
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La Porte de Paris

Les remparts de St Quentin furent détruits sous la Restauration, entre 1816 et 1828 pour laisser place à des boulevards, ici comme plus tard ailleurs. Ils n'empêchèrent pas les espagnols de s'emparer de la ville en 1557 et le désastre de la ville de s'en suivre. Il ne reste aujourd'hui que deux monuments antérieurs à cette époque : l'hôtel de ville, splendeur gothique flamboyant de l'époque Louis XII (1507) et l'ancienne collégiale.
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La porte d'Isle

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La porte St Jean

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Les remparts et leur fossé

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La bataille de 1557 et ses dures suites

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bien illustrée par le monument...

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alors sur la grand place

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et aujourd'hui place du Huit Octobre

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Cliquez pour agrandir l'imageL'église St Jacques, reconstruite au 17e siècle après sa destruction en 1557, était en dernier devenue bourse de commerce . La guerre de 1914 ne laissera qu'un clocher branlant qu'il faudra abattre quelques années plus tard.
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rue St Jacques : la façade consolidée

les galeries Seret vers 1900...

Cliquez pour agrandir l'imageOuverts en 1853, les galeries Seret sont un type de magasin très moderniste en leur temps, à l'image des grands magasins parisiens. Les frères Seret en sont à l'origine. Elles proposent chauffage, éclairage, quincaillerie, orfèvrerie, meubles, literie, tapis et cycles Peugeot. Voici ces bâtiments dans leur premier état, jusqu'au 18 mai 1908...

longent la rue de la sous-préfecture

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En 2014

Entre ces photos d'avant mai 1908 et celles d'aujourd'hui, beaucoup d'évènements sont advenus. Voir dans les onglets suivants. (photos de l'auteur du site)
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Idem

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L'incendie du 19 mai 1908

A l'angle du haut de la rue d'Isle et de la rue de la Sous-Préfecture, les grands magasins Seret sont dévorés par les flammes le 19 mai 1908. Ils seront rebâtis en armature métallique  et seront à nouveau détruits en 1918.
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Les galeries Seret en mars 1919

Malgré son état pitoyable, ce bel immeuble métallique des Galeries Séret a été rebati. C'est aujourd'hui un ensemble de logements.
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le deuxième incendie des galeries

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1919 : le beffroi vu des galeries

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à l'étage supérieur

Cliquez pour agrandir l'imageLa rue d'Isle ne souffrit que modérément de la guerre de 1914. Toutefois de beaux immeubles y furent reconstruits.  Le 2 mars 1944 l'hôtel du 8 octobre disparait ainsi qu'un groupe de maisons à cet angle lors d'un bombardement allié entraînant la mort d'une centaine de personnes. Après 1956 on voit encore au sol le tracé des voies de tramway qui viennent d'être enlevées.
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Déblaiement par des prisonniers allemands

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vers la fin des années 1950

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la maison du 18e siècle est toujours en état

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Cliquez pour agrandir l'imageCe bel hôtel particulier date en réalité de 1736 et n'est pas attribué à Le Nôtre. Il fut bâti par la famille Dumoustier de Vastre et appartint avant 1914 au carrossier Mesnil puis fut abandonné plus de 40 ans. Il est aujourd'hui en parfait état.
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A droite un bel immeuble en pierre bleue et briques qui doit dater du 18e siècle. Il sera bien modifié avec la reconstruction. Notez aussi devant sur le trottoir la borne à eau.
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En 1919

Le haut de la rue d'Isle en 1919

Cliquez pour agrandir l'imageJuste à gauche les ruines des galeries Seret; à leur droite l'ancienne banque générale du Nord. Sur les deuxièmes et troisièmes vues notez le bel immeuble d'angle art déco à bow-windows qui forme le haut de la rue et à gauche les galeries Seret qui ont été reconstruites..
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Un article du Matin de janvier 1920 (source Gallica)

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vers 1930

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vers 1950

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Cliquez pour agrandir l'imageEn faisant le tour de la place... Notez les tourelles d'aération de deux brasseries et une cheminée d'usine en pleine ville, symboles d'une industrie prospère. Quasiment tous les bâtiments de ces vues ont été remplacés sauf à l'extrême droite, du côté de la place rescapé de la 1ere guerre.
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Cliquez pour agrandir l'imageAvant d'être établissement de Bains, cet immeuble sur la droite était le siège du carrossier Mesnil, d'où le cheval pour enseigne. Outre les bains il vous promet hydrothérapie, fumigations douches et bains de vapeur. Voyez aussi comme le téléphone est bien installé à St Quentin : de grands poteaux en forme d'échelle dominent les toits. Et aussi le tramway qui pour mieux s'alimenter en électricité s'est équipé de grands supports de caténaires au milieu des rues. 
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ici en relief stéréoscopique

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Vers la gare

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idem

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Vue vers la rue d'Isle

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Cliquez pour agrandir l'imageLa pharmacie est aujourd'hui un café et la maison du photographe est toujours en place. Par chance elles sont situées du côté non détruit de la place. Au milieu de la place trône fièrement le monument élevé à la résistance de  St Quentin en 1870. La ville est personnifiée par une maîtresse femme couronnée sur laquelle s'appuie un franc tireur blessé.
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Cliquez pour agrandir l'imageLes allemands posent au côté du monument mais ils le dépèceront avec plaisir pour leurs besoins en métaux. Deux bas-reliefs commémorent la résistance d'octobre 1870 et la bataille de janvier 1871 dirigée pour notre part par le général Faidherbe. Plus de détails sur le site de la société académique de St Quentin : 
Le monument de la défense
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la défense du 8 octobre 1870

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La bataille de janvier 1871

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les médaillons du monument

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Les ruines de la place du 8 Octobre

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dans la ville désertée

Tandis que des rouleaux de barbelés jonchent le sol, les explosions n'ont encore fait que peu de dégâts aux maisons. Les fenêtres sont brisées. Photo allemande à comparer avec la photo suivante prise après la fin de la guerre.
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les bains-douches ...

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qui ne baigneront plus personne

Cliquez pour agrandir l'imageUn magnifique immeuble de 4 étages a pris la place des Bains-Douches. Le cheval rescapé de ce dernier établissement a été placé au fronton tandis que le piédestal de l'ancien monument de 1870 est toujours en place. Au fond la nouvelle gare est déjà apparue. Aujourd'hui le cheval a disparu de cet immeuble. Il gênait forcément la vue et la luminosité de la pièce devant laquelle il était planté.
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Vue de la rue de la Fère avant 1914

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les meubles Braconnier sont en cendres

mais ils ressuscitent magnifiquement

Cliquez pour agrandir l'imageEn savoir plus sur cet immeuble par la Société Académique de St Quentin : 
Premier immeuble en béton armé
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une véritable renaissance

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Vers 1950

Dans les années 1950 les bâtiments à gauche de l'hôtel de la Paix ont disparu. Ils vont être remplacés par un bien laid immeuble de 9 étages de style 1960. Il a été depuis rabaissé de 3 étages et sa façade complètement transformée pour mieux se marier à son environnement.
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La place du 8 Octobre, années 60

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et leur architecture provocante

Vers la place du 8 Octobre

Cliquez pour agrandir l'imageLes statues du pont, allégories des fleuves, sont l'oeuvre de Corneille Theunissen ( Anzin 1863 - Paris 1918) également auteur des groupes de la résistance de 1870 et de la bataille de 1557 à St Quentin. Elles furent inaugurées en 1907 et n'eurent que dix ans d'existence. Elles disparurent ainsi que les candélabres sous les mains de l'ennemi. 
En savoir plus 
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idem

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au rythme des tramways 

Cliquez pour agrandir l'imageA l'arrière-plan les anciens magasins de meubles Braconnier qui dataient de 1911. Les socles des statues sont vides. Elles ont été enlevées bien avant la libération de la ville.
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Pont d'Isle - la destruction de 1918

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Le canal vu du pont de Rouvroy

Le canal de Saint-Quentin, long de 92,5 km, assure la jonction entre l'Oise, la Somme et l'Escaut.
Le canal sur Wikipédia
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Le pont de Rouvroy

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A l'écluse de Rouvroy années 1950

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Le moulin d'Isle vers 1900

Cliquez pour agrandir l'imageC'est ici qu'au IVe siècle une riche romaine aveugle retrouva les restes de Quintinus, 55 ans après sa mort. Il devint le saint patron de la ville. Une petite chapelle en marqua l'endroit jusque la fin du 19e siècle. En 1923, après la destruction du moulin, la ville racheta le site pour y élever le monument aux morts.
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entrée 25 place de la gare

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Les ruines en 1921

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le monument aux morts à l'emplacement du moulin

Des explosions le 1er juillet 1916

Cliquez pour agrandir l'imageCe jour là un avion français ou anglais, survolant la gare, fit sauter un wagon d'explosifs, ce qui provoqua une catastrophe effrayante : des maisons furent éventrées et incendiées, des bateaux coulés ou détruits sur le canal, des Allemands tués ou blessés par centaines. La ville entière avait été ébranlée et sept des grandes fenêtres de la nef ou du chœur de la cathédrale furent brisées.
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années 1918-19

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avec des travailleurs non payés

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la gare n'a pas trop souffert

Cliquez pour agrandir l'imageTous les immeubles à droite ont disparu. Ils dégagent la vue de loin sur la basilique. Le passage à niveau a été remplacé par le vaste pont qui enjambe toutes les voies ferrées jusque la rue de la Fère rebaptisée ici rue du Général Leclerc .
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vers la rue de la Fère

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13 janvier 1922

Dans une ville en pleine reconstruction, la gare, épargnée par la guerre, flambe ! Un nouveau chantier s'ouvre, il va être dirigé par les architectes Cassan et Umbdenstock. Elle fait partie depuis 2003 des Monuments Historiques. La décoration art déco de son buffet est réputée. Plus de détails sur 
Wikipédia
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A gauche le buffet de la gare 

Lien sur le buffet de la gare

L'ancienne abbaye de Fervaques 

Cliquez pour agrandir l'imageEn 1642 les Bernardines de Fonsommes (source de la Somme) se réfugient à St Quentin à cause des guerres. Elles commencent la construction de cette nouvelle abbaye de Fervaques la même année. La nationalisation des biens du clergé la transformera en palais de justice. En raison de sa vétusté on préfèrera en 1889 entamer sa démolition. 

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Cliquez pour agrandir l'imageEn 1897 le président Félix Faure (décédé à l'Elysée en 1899) procède à la pose de la première pierre du nouveau palais de justice. il est achevé en 1901, dans un pompeux style 18e siècle pour la somme alors énorme de 3 millions de francs.
lien vers l'ancienne abbaye
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l'ancien musée Lécuyer

Antoine Lécuyer,(1793-1878) banquier et personnalité importante de St Quentin, lègue son hôtel particulier à la ville pour en faire un musée où exposer les oeuvres de Quentin de la Tour.
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et sa grille majestueuse

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L'intérieur du musée

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un hôtel particulier de grande classe

Cliquez pour agrandir l'imageAutre oeuvre de Corneille Theunissen que la ville de St Quentin fit beaucoup travailler. Cette fontaine monumentale est dédiée à l'agriculture. Elle fut érigée en 1913 suite à legs d'une dame de Guerbigny née Vasson. Endommagée aux deux guerres elle fut finalement détruite en 1964 pour laisser place à un centre sportif.
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Lien vers la fontaine de Vasson
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Les premiers tramways à air comprimé

Cliquez pour agrandir l'imageLa traction à air comprimé est apparue sur l'idée de l'ingénieur Mékarski. L'idée consistait à produire de l'air à haute pression dans une usine génératrice et à l'amener par des canalisations en différents points du réseau où les voitures automotrices pouvaient le stocker dans leur réservoir. Assez poussif dans les côtes et en fin de parcours, ce type de motrice installé à St Quentin en 1899 est abandonné en 1908 pour  un réseau électrifié. 

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Histoire résumée du tramway de St Quentin

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Louis Mékarski et son tramway

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Histoire du tram de St Quentin sur Wikipédia

La cité Daltroff

Cliquez pour agrandir l'imageJulien Daltroff, un suisse, créa son usine à Harly en 1875. Il meurt en 1903 mais son fils lui succède. Vers 1900, 600 ouvriers-ères y travaillent. L'usine est complètement détruite en 1918 mais a repris son activité en 1924. "Outre les garnitures de fantaisie pour robes dont elle se faisait une spécialité avant la guerre, elle y a adjoint les tissus brodés et les articles pour lingerie. Dans l'usine se trouve une salle de plus de 3000 m2 où sont montés 35 métiers automatiques dont la plupart ont 13 m de long. Chaque métier comprend deux rouleaux sur lesquels sont placés environ 350 aiguilles. Un métier faisant de 100 à 120 points à la minute, on se rend compte de la grande production que l'on obtient. L'usine comprend en outre un blanchissage, un apprêt, une teinturerie et un mercerisage." (Extrait d'un journal de 1924.)
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et son usine

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L'usine reconstruite en 1924

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l'usine Cliff

Venu d'Angleterre, William Cliff (1791-1868) crée ici en 1821 une usine de tulle .  Quatre générations lui succéderont à la tête de la première usine de France dans cette spécialité. Elle s'étendait près de la place Dufour-Denelle. Deux équipes de 500 ouvriers s'y relayaient jour et nuit. 
page sur l'usine Cliff par la région Picardie
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Raoul Braun - huiles et graisses

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page sur les graisses Braun
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La Cotonnière, rue de Mulhouse

Histoire de la Cotonnière

l'usine Henry Mariolle

Cliquez pour agrandir l'imageFondée en 1924 par M. Nicolas-Désiré Mariolle, la maison a été successivement dirigée pendant plus d'un demi-siècle par son fils, M. Mariolle-Pinguet qui fut longtemps maire de St Quentin, puis en  collaboration avec lui par son fils Henry Mariolle. M. Henry Mariolle, en 1913, transforme ses ateliers et constitue la société actuelle, dont il reste l'administrateur délégué. L'une des premières, la maison Mariolle s'est spécialisée dans la fabrication du matériel de sucreries de betteraves et de cannes. Ses usines, complètement détruites en 1914, ont été dès 1919, reconstruites et possèdent le matériel le plus moderne pour l'exécution de tous travaux de grosse mécanique et de grosse chaudronnerie.
La chaudronnerie Henry Mariolle

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Cliquez pour agrandir l'imageEn dehors des sucreries complètes, la société des établissements Henry Mariolle fabrique pour la France tous les appareils nécessaires à l'industrie de la chaux et du ciment. Pour les aciéries, les verreries, les fours à coke, ainsi que pour les moteurs à gaz pauvre, la société des établissements Henry Mariolle produit des gazogènes à sole rotative et à décrassage automatique. Signalons aussi les broyeurs bi-coniques Hardinge dont il existe, pour tous usages, des milliers d'exemplaires dans le monde entier et qui broient chaque année plus de 70 millions de tonnes de matières diverses. (article paru en 1923)
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Le côté du théâtre

Cliquez pour agrandir l'imageLe théâtre a été bâti en détruisant la maison de l'Ange. Regardez à gauche la maison à colombages (anciens?) elle va laisser place à un établissement bancaire en pierre.

voici la banque...

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un Comptoir National d'Escompte

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Admirons la jolie petite façade de style flamand 17e siècle qui le borde

et le magasin de vêtements Thiéry 

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              pendant l'occupation de 14-18

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après l'évacuation de 1917, au temps du pillage
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le résultat des bombardements

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le théâtre a réchappé

                  On achève la reconstruction

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Mais plus de façade 17e siècle : le magasin s'est agrandi.
Cliquez pour agrandir l'imageLes commerces de vêtements ne manquaient pas à cette époque : en voici quatre côte à côte. A l'arrière la tour de l'ancienne église St Jacques, devenue bourse de commerce. 2eme à gauche la maison Drouart & Isidore Hachet, chaussures et bonneterie va bientôt laisser sa place à un nouvel immeuble : la Taverne de la Bourse.
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          A droite un atelier de photo


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