Amiens - Les grands disparus

L'hôtel "de Ville"

Cliquez pour agrandir l'imageLa rue de Ville prit ce nom parce que Jean de la Motte, seigneur de Ville, y fit construire un hôtel à son extrémité au XVe siècle. Elle s'aboutait sur la rue Saint Leu.
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Vue du "château d'Eau"

Superbe vue : depuis le château d'eau on peut apprécier pleinement l'environnement de l'hôtel Morgan. C'est cette grande toiture au premier plan à droite, surmontée, déjà, de fils téléphoniques. L'Hôtel Morgan a été construit à la fin du XVe siècle par Jehan seigneur de MONCHAUX. En 1727, il appartint à Adrien MORGAN qui lui laissa son nom.
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à gauche l'hôtel

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A droite, le château d'eau

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Ancienne auberge rue de Beauvais - 1846

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Auberge du Paon - 1834

Grâce à leur fabuleux travail, les frères Duthoit, dont le dernier décéda en 1874, nous ont légué un inventaire complet du patrimoine amiénois et samarien du 19e siècle.
La rue des Orfèvres allait du marché Lanselles à la rue du Bloc.
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Hôtel du Berceau d'Or - 1831

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Maison rue du Bloc - 1848

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Rue de Metz

Rue de Metz. Maison Lenglier à charpente historiée. Construite au XVIe siècle. Démolie vers 1848
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Maison à caryatides en ruines

Une maison en ruine, à l'angle de la rue Basse des Tanneurs et la petite rue Saint-Germain.
Dessins des frères Duthoit - base Joconde
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Escalier rue Notre Dame en 1850

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Hôtel des trésoriers de France

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La rue Tourne Coiffe

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Rue des Poirés

La maison des Ramoneurs, détruite en 1896 à l'emplacement actuel de la Faculté des Sciences. Elle fut démolie cette année là mais la façade fut reconstruite en 1898 à Bois-le-Roi au sud de Melun pour orner une belle villa appartenant à un riche parisien. D'importantes modifications y furent apportées au goût du nouveau propriétaire. Voir ce lien : 
Le Vieux Logis de Bois le Roi
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Du vieil Amiens au bord de la Seine

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du même style en 1835

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Rue de Condé en 1840

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Escalier rue des Orfèvres - 1828

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Escalier rue des Orfèvres - 1835

Le passage Gossart

Cliquez pour agrandir l'imagereliait la place de l'Hôtel-de-Ville avec le marché Lanselles à gauche de l'hôtel des postes. La "Maison de l'Homme à Trois Têtes" ou du "Blanc Pignon", avait été édifiée en 1492 par Nicolas Fauvel, maïeur. Le guide Michelin des Champs de Bataille (1920) précise : "Contre le bâtiment principal, qui a conservé sa structure ancienne, a été rapporté en encorbellement, au dessus du débouché du passage Gossart, un petit réduit qui servit probablement de tribune au maire pour haranguer les gens réunis dans la cour. Ce réduit est soutenu par une demi-voûte en bois, dont les arcs viennent buter contre des corbeaux de pierre. A l'angle extérieur, une console, terminée par un Ange volant, forme pendentif et est décorée d'une sculpture bizarre : un homme, en costume de bourgeois du XVe siècle avec trois têtes, un pied chaussé et l'autre nu. Sur une autre console, en face, un homme à cheval parait représenter Nicolas Fauvel en tenue de mayeur d'Amiens. Une partie de l'habitation en pans de bois est effondrée (chute d'une torpille), la tribune du maire est intacte."

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Le centre vers 1920

En 2 : le passage Gossart et en 3 : la maison du Sagittaire. Curieusement, on constate qu'une polyclinique était installée dans les murs antiques du Blanc Pignon. Entre les deux guerres, la maison, joliment restaurée, a été rendue à un usage d'habitation. Les incendies de mai 1940 n'en laisseront hélas rien.
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Entre 2 guerres : le Blanc Pignon restauré

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Devant la cathédrale en 1860

Les précieux frères Duthoit ont dessiné ces maisons en 1860, avant que la mode néo-gothique ne s'en empare pour les remplacer par des maisons certes belles mais n'ayant pas le mérite de l'authenticité. Mai 1940 n'a laissé que les deux maisons des extrémités. Celles entre deux ont été rebâties dans un style très modeste.
(la première image vient de la base Joconde et la dernière photo provient du blog AnnickAmiens)
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Au début du 20e siècle

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En 1941, les deux survivantes

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Aujourd'hui

Le cloître de l'ancien cimetière en 1820

Cliquez pour agrandir l'imageLe cimetière était situé à l'emplacement de la place René Goblet. (voir page Autres rues) Ce bel ensemble, cloîtres, chapelles, monuments funéraires, fut démoli en 1840 pour laisser la place à deux rangées d'immeubles. C'est le site de l'ancien prieuré St Denis des Prés du 11e siècle. Il est transformé en cimetière au 14e siècle, entouré de cloîtres et chapelles. La Révolution ferme le cimetière et vend le site comme bien national en 1791. Aquarelles des frères Duthoit, musée de Picardie, base Joconde.
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Une aile du cloître

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Du cloître vers la cathédrale

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Une arcade du cloître

Le Pont Piperesse et la place des Huchers

Cliquez pour agrandir l'imageIl tenait son nom de Marie-la-Piperesse, la femme du premier "pipeur" ou guetteur du Beffroi. La place des Huchers était située entre la rue du Don et la rue des Rinchevaux, face à la rue des Huchers.

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    La rue des Rinchevaux (2 et 3)

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Au fond, à gauche, la place des Huchers,
à droite le pont Piperesse

Aujourd'hui

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La rue des Tripes

Autrefois nommée rue de la vieille Boucherie, elle partait du marché Lanselles vers la rue du Bloc. En 1891, on jugea bon de la rebaptiser rue Antonin, du nom de l'empereur romain qui, dit-on, fonda Samarobriva (nom romain d'Amiens). Les bombardements de mai 1940 la firent disparaître.
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Rue des Bouchers - 1

    Halle au Blé - rue des Jacobins

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La façade située à gauche de la halle subsiste encore


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