Beauvais - les abords - les fêtes de Jeanne Hachette - Picards d'autrefois

Les abords de Beauvais ne furent pas touchés par la guerre. Mais il serait dommage de ne pas un jeter un regard sur ces lieux charmants

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Marissel

Ce charmant village à l'est aujourd'hui intégré à la ville, rue de Marissel , n'a pas été touché par la guerre. Une belle maison à colombages figure encore en contrebas de l'église. Corot l'a peint un jour d'hiver, avec une merveilleuse lumière.
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Ici le temps s'est arrêté

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Cliquez pour agrandir l'imageAgréablement situé au nord ouest de la ville auprès d'un petit lac dédié à Marcel Dassault,  le moulin, ancienne dépendance d'abbaye, après des sorts divers, échoua à un institut agricole. Il se présente toujours ainsi aujourd'hui.
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Cliquez pour agrandir l'imageCe bel ensemble date des 12e et 13e siècles. Il fut une léproserie jusqu'à la Révolution, et devint dès lors une ferme. Récemment acheté par la ville et restauré, il a été transformé en centre culturel. Situé à une sortie sud-est de la ville, il est toujours environné de champs.
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La procession de Ste Angadrème

Cliquez pour agrandir l'imageLouis XI émerveillé de la belle défense des Beauvaisiens, institua une procession annuelle dite de l'Assaut qui s'est perpétuée jusqu'à nos jours, dans laquelle on porte la châsse de sainte Angadrême et où le drapeau pris par Jeanne fut longtemps tenu, de génération en génération, par une femme de sa famille.
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La châsse sur la grand place

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Quand la fête devient bruyante

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Au centre la rue de la Madeleine

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Les jeunes filles tirent au canon

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29 juin 1930 : Louis XI sous un dais

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Le tambour Campion

Vive le père Campion ! Car c'est lui l'homme cumulard, le type de Beauvais que tout le monde connaît et dont le nom passera à la postérité grâce à la fameuse revue des "Beauvaisaneries". (texte de la carte)
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12/11/1902 : la mort du père Campion

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Une vinaigrette sur la place (1894)

Cliquez pour agrandir l'imageSi vous errez un soir dans les rues de la ville, vous serez étonné peut-être, mais à coup sûr charmé, quand vous rencontrerez, revenant d'un dîner ou d'une veillée, quelque bonne bourgeoise beauvaisienne regagnant son logis en vinaigrette. (Alexis Martin, 1894)

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Rue Jean Racine

Côté nord de la cathédrale
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Rue Nicolas Pastour

A l'angle de la rue Jean Racine
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Rue Nicolas Pastour

Un morceau de passé préservé
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Rue Jean Racine et rue Ph. de Dreux

Des ruines consolidées
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Une maison du 15e siècle...

Condamnée, cette rescapée de la guerre a été
rebâtie près de la cathédrale par une association.
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replantée devant la cathédrale

grâce aux Maisons Paysannes de l'Oise
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La Cathédrale en travaux (25-4-2013)

A droite, la galerie nationale de la tapisserie
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Angle rue Carnot rue Jeanne d'Arc

L'aspect du Beauvais rebâti 
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La Poste de 1923

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A gauche la rue St Laurent

        La rue St Laurent

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L'hôtellerie de l'Epée Royale était approximativement
sur le trottoir de gauche. Après le peuplier, la rue Ricard.

Une rescapée rue Gambetta

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Angle rue Gambetta rue du 27 juin

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La rue du 27 juin - 1

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Au nord de la vieille ville, elle est la seule rue ancienne
à avoir entièrement réchappé aux bombardements. 

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Autour de St Etienne

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Un ensemble très typé années 50

La rue de la Tapisserie

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ex rue de la Manufacture où se situait à gauche
la Maison aux Faïences

Un aspect de la ville moderne

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Les restes d'un monument ruiné

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La fontaine à l'entrée de l'avenue Foch

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Fontaine de Henri Gréber, autrefois rue de la Frette 

Au musée : poutre d'une ancienne maison

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Au musée : vue de la rue Feutrier

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Publicité de la ville

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